Het Financieele Dagblad et les limites de la publicité gratuite
Vous voulez que les médias décrivent votre histoire à 100 % comme vous l'avez imaginée ?
Alors achetez de l'espace publicitaire. Si vous diffusez un communiqué de presse, le journaliste est libre d'en faire ce qu'il veut. C'est ce que je dis depuis des années lorsqu'un client mécontent vient se plaindre que le journal a "mal compris" et l'a écrit. Jusqu'à ce que cela vous arrive à vous-même, bien sûr...
Je n'étais pas entièrement mécontent, mais pour être honnête : je n'étais pas non plus entièrement satisfait du titre que le FD a mis au-dessus de l'article sur mon invention "Guinguettes à gogo". En tant que Flamand, je trouve que le mot "kroeg" convient à une "guinguette" comme des pinces à un cochon. Pour moi, il évoque l'image d'une foule qui se morfond et rugit dans un pub de troisième ordre qui pue la bière atténuée🍺 🍺 🍺 🍺 🍺 🍺. À mon avis, cela n'a donc rien à voir avec un bar d'été plus raffiné et mieux adapté à la culture dans la campagne française idyllique 🇫🇷 🌳 ☀️ 🎶. Alors que pour le Néerlandais au franc-parler, un pub n'est qu'un café ou un bar. Point final. Je suppose que tout cela est dû au caractère national, comme ils essaient de l'expliquer sur ce site web
https://lnkd.in/eX_vMaBB 😉
Il n'est pas du tout certain non plus que le titre soit sorti de la plume du journaliste. C'est peut-être encore le rédacteur en chef qui a voulu marquer des points en coulisse avec un titre un peu plus sauvage. Il ou elle l'a d'ailleurs très bien fait, car malgré mes réserves initiales, cet article a donné un nouvel élan aux ventes du livre. Si les choses continuent ainsi, il y aura cet été plus de Néerlandais que de Belges qui voyageront avec mon livre....